Ecoute Profonde

Les mots vont agir au-delà de leur sens cognitif, par leur résonnance.

Ouverture au champ énergétique (espace de l’entre deux qui sépare et relie deux êtres) dans lequel se libèrent des informations de la personne écoutée, qui ont besoin de se dire, de s’entendre, de se décristalliser, d’être mis en lumière et auxquelles je prête mes mots, ma syntaxe, mes symboles et mes représentations.

Les informations qui se libèrent peuvent être d’ordre mental, physique, émotionnel, psychique, liées à l’inconscient individuel ou collectif, de mémoires transgénérationnelles ou intra-utérines

Les mots ne sont pas un « dire », ils sont issus du silence.

C’est la relation d’accompagnement qui guérit car elle est éthique et pas le facilitant.

Présence : ne pas savoir et ne pas vouloir pour l’autre

L’écoute profonde c’est l’écoute des mots qui naissent du silence et de la vibration du champ énergétique, issu de la résonnance enter deux êtres, le facilitateur et la personne écoutée.

Le facilitateur, dans un séance d’écoute profonde, prête des mots, sa syntaxe, ses symboles et tout de lui afin de permettre aux informations libérées dans le champ de l’entre-deux par la personne écoutée de prendre forme en mots.

Pour quoi : décristalliser ce qui a besoin de l’être

Des mots qui s’écrivent, mots que la personne a besoin de se dire à elle-même et qui ne peuvent parfois pas s’articuler.

Historique : la communication facilitée avec les personnes qui n’ont pas l’usage de la parole = soutien d’une main au-dessus d’un clavier et mouvement qui a pointé des lettres formant des mots

Avec la psychophanie découverte que cette posture peut permettre aux personnes qui ont l’usage de la parole d’exprimer leur être profond, avec ou sans soutien de la main

Marie Vialard : une posture d’écoute avant d’être un moyen de communication et résonnance des mots.

Espace du cœur.

Auto-écoute profonde pour la mettre au service de sa mission